Le pronostic est toujours très sombre, puisque la maladie est mortelle dans quasiment 100% des cas chez les mammifères, une fois les symptômes déclarés.

Chez l’animal, il n’existe aucun traitement. Chez l’homme, lorsque la rage est cliniquement déclarée, on parvient seulement (mis à part 3 cas de guérison, sujets à polémique), à allonger le temps de survie par l’administration de sérum antirabique, l’injection d’interféron, l’hospitalisation en réanimation…

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